Est-ce que le comportement turbulent et agressif d’un enfant peut laisser supposer que celui-ci entre dans la catégorie des “psychopathes” ? D’ailleurs, est-il possible de diagnostiquer un tel trouble de la personnalité chez un enfant ? Voici un sujet très controversé qui mérite que l’on s’y attarde autour d’un article…

 

Stigmatiser l’enfant

La psychopathie est loin d’être un trouble anodin. De nature très impulsive, le psychopathe n’éprouve pas de culpabilité, s’avère être indifférent aux sentiments des autres car insensible aux émotions, mais est aussi manipulateur et menteur. Cette pathologie ne peut être diagnostiquée que par des professionnels spécialisés, à travers des tests précis et des examens médicaux et neurologiques. Le psychopathe peut évoluer “normalement” autour de nous mais il fait vivre son entourage sous haute tension et le vide de son énergie. Bien qu’il existe des thérapies qui peuvent parfois atténuer les symptômes, la psychopathie a encore ses zones d’ombre dans l’intégralité de sa pathologie. Il convient donc d’être d’une extrême prudence lorsque l’on souhaite établir si un enfant manifeste un comportement psychopathique.

L’enfant n’est pas développé émotionnellement, moralement et socialement. De la naissance à l’âge adulte, nous passons par différents stades de développement, mais pas forcément au même âge ni de la même façon. Certains enfants évoluent différemment, notamment en fonction de leur vécu, car certaines situations peuvent ralentir, voire bloquer ces étapes d’évolution : un traumatisme, une maladie physique, un changement dans la vie familiale…

Si nous nous basons sur les traits de base de la psychopathie, nous trouvons :

  • le manque d’empathie
  • le mépris des limites morales
  • un intérêt porté uniquement vers ses propres besoins
  • des excès de colère

Les adolescents et les jeunes enfants manifestent ces types de comportements de façon plus ou moins innée. Ce n’est pas pour autant qu’ils deviendront des psychopathes caractériels ou sanguinaires ! L’agressivité, le narcissisme et l’impulsivité ne peuvent pas, à eux seuls et si tôt, représenter les effets liés à cette problématique. Avant d’émettre une quelconque analyse, il convient de tenir compte de la situation dans laquelle évolue l’enfant en question, notamment au niveau familial. Il a déjà été observé qu’un bébé un peu difficile, en proie à de nombreux pleurs, peut être perçu par ses parents comme étant un “enfant à problème” qui va causer bien des tourments. Ce type de réaction pourrait influencer le comportement de l’enfant.

 

Un enfant peut-il devenir un psychopathe ?

Oui, bien sûr !

Mais… techniquement, les enfants ne peuvent pas être diagnostiqués “psychopathes” pour toutes les raisons citées plus haut. Toutefois, si leur comportement inquiète l’entourage et que celui-ci se trouve démuni devant la conduite à tenir, il convient d’établir une évaluation mentale. Le professionnel qui cherchera d’éventuels signes liés à la psychopathie, notera des actes plus “subtils” que ceux liés aux psychopathes adultes, comme :

  • Un enfant qui n’éprouve aucune émotion
  • Insensible aux besoins des autres et uniquement concentré sur ses propres envies
  • Hautement manipulateur

La nature même de la psychopathie est toujours très discutée dans le milieu de la santé.

Certains individus diagnostiqués psychopathes violents ou non violents, ont vécu une enfance totalement épouvantable. Mais un certain nombre d’entre eux ont également eu une vie tout à fait normale, sans facteurs traumatisants. Les avis sont donc extrêmement partagés.

La personnalité d’un enfant ou d’un adolescent n’est pas définitive et ne peut donc être classée de façon catégorique. Si nous prenons en exemple les comportements des adolescents, la défiance face à l’autorité, les prises de risques sans analyser les conséquences des actes sur du long terme, toutes ces attitudes sont des réactions qui font partie du parcours de l’adolescence. Et si un jeune se montre bien plus difficile que la moyenne, on ne peut pas établir avec exactitude :

  • que celui-ci souffre d’un trouble psychopathique
  • ni que ce trouble persistera à l’âge adulte

Il existe donc des signaux d’alerte qui doivent être suivis de près par des spécialistes afin d’assurer un traitement médical et comportemental le mieux adapté à l’enfant.

Pour en savoir plus sur ce sujet, il vous a été proposé de poser vos questions sur l’enfant psychopathe. Retrouvez mes réponses dans le podcast qui se trouve ci-dessous.

Bonne écoute et à bientôt !

SB.

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12 Responses

  1. Je connais des gents qui ont plusieurs enfants. L’aîné de la fratrie a un comportement spécial . Il doit avoir 7 ans à ce jour .
    Il vient assez souvent parler avec moi , me pose énormément de questions , comprend très vite les concept, il est très curieux .
    Mais à côté de ça , martyrise son petit frère , fait des expériences sur ses frères et soeurs .
    Il ne semble éprouver aucune forme d’émotion mais est très fort pour les simuler devant ses parents ou un publique .
    Il cherche des animaux afin de les disséquer , frappe son chat …Tape son frère …
    Si je rentre tard la nuit , je le vois à la fenêtre de sa chambre qui regarde dehors , il ne dort pas . Il expliquera et ce uniquement si ses parents ne sont pas présent , que la nuit il ne dort que jusqu’à 4 heures et qu’après il fait semblant .
    Il a un regard particulier .Un peu ? comment dire inexpressif , froid .
    Je ne sais si ses parents sont conscient de ça , on se pose la question de la sécurité pour ses frères et soeurs , comment aborder le sujet avec ses parents , sans qu’ils se sentent jugés ??? On a peur pour nos animaux aussi , car le jour où il se sentira assez fort , que fera t’il ?

    • Bonjour Greg,

      Aborder un aspect négatif au sujet d’un enfant avec les parents, n’est pas une discussion facile. Toutefois, vous avez noté des comportements violents chez cet enfant de 7 ans. Dans cette conversation, il ne s’agit pas de pointer du doigt les actes commis. Dans un premier temps, il s’agit surtout de savoir si ses parents ont constaté l’attitude de leur fils. Si tel n’est pas le cas, soit ils ne souhaitent pas en parler, soit ils considèrent que cela est normal. Il faudra alors essayer de les alerter au moins sur ce que l’enfant cherche à faire sur les animaux. Si les parents ont conscience du comportement de leur enfant, peut-être que vous apprendrez que ce dernier est déjà suivi par un spécialiste. Si ce n’est pas le cas, il est possible d’indiquer à vos amis qu’il existe des programmes spécifiques qui permettent aux enfants comme lui de reconnaître les émotions chez les autres (programme PATHS). Cela l’aidera à développer ses capacités émotionnelles qui, actuellement, ne semblent pas répondre naturellement à la douleur de ce qui l’entoure.

      Ceci étant, le dialogue reste une très bonne chose. Mettez-vous toujours à la place des autres parents en vous entraînant et en vous posant ces questions :
      – « En tant que père et mère, qu’est-ce que je ne voudrais pas entendre au sujet de mes enfants ? »
      – « Si mon fils avait un tel problème, quels sont les mots que j’aimerais entendre ? »
      – « Jusqu’où puis-je apporter mon soutien ? »

      Car vous ne serez pas le spécialiste de la question. Vous devrez donc définir des limites dans votre intervention.

      En espérant vous avoir un peu éclairé sur le sujet.
      Bien à vous.
      SB.

  2. Bonjour Sylvia

    Je ne veux pas sortir du sujet, mais je m’interroge. Je reconnais complètement mon fils de 6 ans dans la description que vous faites de l’enfant psychopathe. Impulsivité, manque d’empathie, (voire meme, sadisme, avec nous ses parents et les animaux de la maison), froideur et indifference face a la douleur de l’autre – autre qui parfois devient « experience » pour satisfaire une curiosité – , intérêt porté sur ses propres besoins, extreme impulsivité, changement d’humeur brutal, refus du non, opposition, intolerance a la frustration, agressivité. Je rencontre les memes difficultés que celles que vous décrivez dans le podcast, les punitions, en particulier, n’ont aucun effet.

    Mais le diagnostic est bien different. Mon fils est TSA (trouble du spectre autistique) et TDAH (trouble deficit de l’attention et hyperactivité).
    Les pistes éducatives que vous préconisez dans la seconde partie du podcast correspondent exactement a celles que nous utilisons avec l’aide du service qui a diagnostiqué notre fils.

    Je n’ai aucun doute sur l’autisme de mon fils, il en a par ailleurs tous les signes caractéristiques (troubles sensoriels extrêmement marqués, obsessions, rituels, rigidité, anxiété et trouble de la communication sociale, mauvaise lecture des emotions des autres, gestuelles, « stimming », posture rigide…)
    Le TSA et le TDAH sont bien évidemment des conditions neuro-developementales, mais je m’interroge beaucoup sur les similitudes frappantes entre les deux profils et le lien éventuel. Je suis souvent troublée de lire ici et la que tel tueur de masse était diagnostiqué « asperger » ou de lire une biographie de tueur en série qui possède également tout les traits autistiques caractéristiques.
    Qu’en pensez-vous ? Faites-vous une difference nette entre les eux conditions et si oui, comment ?

    • Bonjour,

      Vous indiquez que certaines lectures relatant le parcours de tueurs en série, font un lien entre psychopathie et trouble autistique. Parce que les personnes atteintes de TSA manqueraient d’empathie et auraient peu de liens émotionnels envers les autres, ces derniers seraient susceptibles de devenir violents, au même titre que les psychopathes.

      Il est important de souligner que les recherches s’orientent vers un autre chemin. Même si certaines similitudes s’apparentent aux patients qui souffrent de psychopathie, les personnes atteintes de TSA ne se dirigent pas vers le sadisme comme peuvent le faire certains psychopathes. Dans la recherche sur les TSA, il est noté que les patients peuvent aussi souffrir de troubles psychiatriques parallèles et ce sont eux qui peuvent devenir la cause la plus probable d’un éventuel passage à l’acte violent.

      Mais les professionnels s’occupant des personnes atteintes de TSA indiquent ne pas avoir connu de patients vraiment violents. Tout au plus des agressions dites « mineures » liées à des crises de colères, mais qui restent superficielles. De plus, l’idée trop ancrée que les patients TSA n’éprouvent ni émotions, ni remords, est fausse ! Ils ont des émotions, aussi bien positives que négatives et ressentent des regrets lorsqu’ils heurtent quelqu’un d’autre à travers un comportement blessant.

      Tout ceci marque une différence très nette avec les patients psychopathes qui manquent réellement de remords car n’éprouvant aucune culpabilité vis-à-vis de leurs actes. Ils ont notamment une haute propension à manipuler les autres, à les blâmer et à les exploiter pour leurs besoins personnels.

      De votre côté, vous avez su parfaitement gérer la situation en faisant poser un diagnostic par des spécialistes de la question et en étant encadré par un service spécialisé. Cela ne pourra qu’amener votre enfant à évoluer favorablement avec tout l’appui nécessaire de sa famille et du corps médical.

      J’espère que cette réponse aidera à éclaircir cette confusion 🙂

      Je vous remercie sincèrement pour votre témoignage.
      Bien à vous.
      Sylvia.

  3. C’est la faute aux parents.
    Je le constate chaque jour lorsque j’analyse et compare mon comportement enfant à celui de mon fils, il a six ans.
    J’ai vécu dans une famille de dépressifs limite débiles, alors que mon fils unique vit dans le calme et est aimé et encouragé dans chaque chose qu’il entreprend ou tente d’entreprendre.

    Je suis solitaire, individualiste et de moins en moins empathique alors que lui est trés sociable, déteste la solitude et adore les animaux bref s’interesse au monde qui l’entoure.

  4. Je voulais juste rajouter que nous sommes tous un peu toxique et psychopathe mais à des degrés différents seulement dans cette societé qui se dit Morale mais ne l’est pas, il est mal accepté de dire que les detresses des autres ne nous touchent pas.
    Qui n’a jamais occulté le malheur d’un autre et qui n’a jamais fait de mal avec intention de nuire ?
    Je corrobore mes propos donc….

    Personnellement l’environnement familial fait le trois quart et le quart restant c’est la société qui nous pousse à ne plus avoir d’empathie et à se dire  » c’est normal ».

  5. Bonjour,
    Je viens de prendre connaissance de votre article.
    Je ne suis pas professionnel mais juste une maman.
    J’ai un ami qui as 2 enfants, une fille de 11 ans et un garçon de 6 ans et demi.
    La séparation de leurs parents est très difficile avec un Maman qui hélas leur as donné un rôle dans le divorce …
    la manipulation en pensant que créer un clan comme dans une guerre donnera un rôle de « coupable » a leur papa.
    Au jourd’hui c’est plutôt difficile pour mon ami car hélas tout son entourage qualifie ses enfants d’exécrable.
    Bien que beaucoup me souhaite bon courage avec la fille qui est pré ado, très vicieuse menteuse et manipulatrice je suis très inquiète pour le garçon.
    Il as été diagnostiqué HP, donc précoce.
    Or ce qui est le plus inquiétant est les signes que vous avez énoncés
    Incapable d’empathie, très violent, un refus d’autorite Avec l’adulte bien que dans le privé l’an dernier après 3 mois de scolarité la directirice n’en pouvant plus l’as renvoyé
    Idem pour cette année une seconde école privée qui à ce jour souhaite le renvoyer…
    il peut sembler « mignon » d’apparence mais peut en plein cours se lever pour étrangler un camarade de classe sans raison…
    Il devient très manipulateur
    Son papa est dans une détresse qui me brise le cœur
    J’ai moi même un garçon et j’avoue avoir peur de laisser mon fils en contact avc ce dernier.
    Pourtant cet enfant est suivi par des psy mais jamais un test de « moralité » n’as été effectué .
    Que faire?

    • Bonjour Anna,

      Vous vous inquiétez pour le fils de votre ami, dont le comportement s’oriente vers des épisodes violents.

      Vu son jeune âge, il n’est pas possible de poser un diagnostic sur une éventuelle psychopathie. Mais les enfants HP peuvent parfois être hyper-réactifs dans leurs réactions. Si ils se sentent en insécurité, ils peuvent réagir de façon brutale, mais pour autant, ils ne veulent pas faire du mal aux autres. C’est un point important à différencier avec les psychopathes qui eux, cherchent à nuire volontairement à leur entourage.

      Dans le cas de l’enfant de votre ami, un accompagnement psychologique est essentiel et c’est un suivi qui a manifestement été actionné. C’est parfait.

      Néanmoins, il faut savoir que ce type de suivi demande du temps. C’est un tout petit garçon qui va devoir apprendre à contrôler ses réactions, à comprendre ce qui se passe en lui. L’important étant qu’il soit entouré, aussi bien par vous tous, sa famille, que par un appui médical.

      Pour avoir plus de précisions, peut-être pouvez-vous vous rapprocher du Dr.Maurice Berger, spécialiste des enfants et ados violents. Son site : http://www.mauriceberger.net

      N’hésitez pas à me tenir informée.

      Bien à vous.
      Sylvia.

  6. Bonjour,
    J’ai lu un jour qu,un enfant qui naissait pendant que la mère souffrait de pré-éclampsie à risque de devenir autiste. J’ai un petit fils qui est né dans ces conditions. Il a aujourd’hui 7 ans et éprouve quelques difficultés ce qui a mené les parents à Consultee. Je lis vos articles, et je retrouve chez lui certains traits que vous décrivez.
    Merci,

    • Bonjour Léa,

      Votre question soulève un aspect plutôt médical. N’étant pas médecin, je ne suis donc pas la bonne personne pour y répondre.

      Certaines études ont néanmoins révélé qu’une pré-éclampsie provoquant différentes problématiques dans le mécanisme normal de la grossesse, serait responsable d’une perturbation dans le développement neurologique de l’enfant.

      N’oublions pas non plus qu’il ne faut pas lier les troubles d’un enfant autiste avec ceux d’un jeune ayant des troubles « psychopathes ».

      Excellente journée à vous.

      Cordialement.
      Sylvia.

  7. Bonjour,
    Voilà je vous explique mon soucis.
    Nous avons récupéré le fils aîné de mon mari âgé de 11 ans ,après une OPP d urgence le 20 juillet et nous devions le garder jusqu’au 4 septembre mais il repart aujourd’hui car il nous a vidé aussi bien physiquement que mentalement il a fait les pires betises comme faire pipi dans la poubelle de bureau de sa chambre casser et mettre en pièce les affaires de ma fille faire mal au chien et le pire est arrivé lundi il a essayé d’étouffer notre bébé de 4 mois avec une couverture et il avait attaché les mains du bébé avec un ruban et quand on lui a demandé pourquoi il avait fait sa il a juste dit parce que j’ai pas le droit de le porter et quand on lui a demandé pourquoi il lui a attaché les mains il nous a répondu je voulais être sur qu’il ne m attraperais pas . J’ai eue très envie de lui mettre une baffe mais je l’ai pas fait parce que les coups ne lui font rien les punitions non plus donc on la mit à réfléchir dans sa chambre mais ca n’a eut aucun impact sur lui pour lui il n’a rien fait de mal. Au départ quand on a expliquer le problème a l’educatrice elle nous a pas cru.on a du lui expliqué plusieurs fois la gravité de son geste. Mon mari s’en veut et c’est excusé a la place de son fils qui lui ne l’a pas fait . Il doit être placé en septembre parce que sa mère à une relation toxique avec lui et elle le maltraite . Penser vous qu’il soit psychopathe? Une chose est sûr c’est que je n’en dors plus et que je ne veux plus le recevoir chez nous .pourtant quand on le voit on lui donnerait le bon dieu sans confession mais si on a le malheur de ne pas faire ce qu’il veut il a un regard glaçant. Moi il me fait peur .encore plus depuis qu’il ai essayé de tuer mon bébé. Quelle avenir peut avoir un enfant comme lui qui ne ressent rien quand son père lui a crier dessus il n a pas sourciller même pas un semblant de larme. Et après il c’est remis à jouer comme si de rien était . J’ai halluciné!

    • Bonjour Sophie,

      Vous vous inquiétez au sujet du comportement du fils aîné de votre mari.

      Il m’est impossible de vous confirmer si cet enfant est psychopathe ou non, notamment parce qu’il est encore très jeune. Pour cela, une évaluation précise doit être faite par un professionnel, via des tests psychologiques et neurologiques.

      D’après ce que vous expliquez, ce petit garçon a évidemment un problème comportemental qui se doit d’être surveillé par des spécialistes. Les éducateurs ne sont pas formés à la détection d’éventuels troubles de la personnalité ni aux soins qui s’y rattachent. Il est fondamental que ce garçon apprenne à mieux comprendre ses propres émotions, à les contenir puis à mieux ressentir celles des autres.

      Selon où vous habitez, vous pouvez demander à votre pédiatre ou votre médecin traitant, quel est l’hôpital ou le professionnel qui pourrait intervenir dans l’évaluation du fils de votre mari et surtout, dans son accompagnement et celui de votre famille.

      Cordialement.
      Sylvia.

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